OHS Flavigny
11 janvier 2018
Halle transitoire La Baule
11 janvier 2018

    1193 entreprises, 12 000 salariés, plus de 6 millions d’entrées, plus d’un milliard de tonnes de produits en transit, un bassin de 18 millions de consommateurs, des chiffres époustoufl ants qui nous font facilement comprendre l’évidence de quitter les Halles, après plus de 8 siècles de présence au coeur de Paris. Le premier marché de produits alimentaires frais du monde s’installe à Rungis, à 7 km du centre, dès 1969.

    En 2011, dans le cadre de sa politique environnementale, les MIN de Rungis analysent tous les aspects de cette politique :
    gestion drastique des déchets, gestion rigoureuse de l’eau potable, entretien des espaces verts avec des produits biodégradables, rénovation des bâtiments pour une réduction de leur  consommation énergétique et par conséquent, de leur empreinte écologique.

    La toiture du Pavillon de la Marée refait peau neuve: 18 000 m² ont été rénovés.

    L’ancienne ossature en bois est remplacée par du TAN (tôles d’acier nervurées), par tranches de 100 m², et une isolation thermique en laine de roche de 80 mm est posée par dessus. Sachant que les produits de la mer ont besoin d’être conservés au frais pour garder toute leur fraîcheur, une toiture blanche, à haut pouvoir réfléchissant (jusqu’à 81 % des rayons solaires), le DERBIBRITE® NT s’imposait.

    En effet, en agissant comme refroidisseur passif, elle réduit la température à l’intérieur du bâtiment de plusieurs degrés, influant grandement sur la demande en air conditionné et la consommation des frigos qui s’en trouvent ainsi réduites.

    DERBIBRITE® NT est le choix parfait pour réduire à la fois les coûts énergétiques et financiers.
    Notons également que les travaux se sont déroulés sans occasionner de nuisance commerciale grâce à une technique toute particulière : sous-face bâchée pour prévenir toute pollution et mise hors d’eau systématique chaque soir.

    Le ventre de Paris a pu continuer à promouvoir les produits d’excellente qualité de ses fournisseurs et à porter haut la culture du « bien manger » et du « bien boire », si chère à notre patrimoine.